23 juin 2005
Vite un autre !
Ce matin, j'ai arrêté mon ancien blog. C'est une douleur vraie. C'est comme si j'abandonnais mon bébé. Mais il y a une page à déchirer, des choses à laisser mourir. Je viens ici, je ne sais pas si c'est mieux, mais au moins, personne ne me connaît. Je viens panser mes plaies, incognito, en terra incognita, loin de son regard. Les larmes, elles finiront par sécher toutes seules. Renaissance d'une conne ?